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Bienvenue!

Bien plus qu'une jardinerie traditionnelle, Pépinière Villeneuve vous éblouira par l'immensité et la beauté de son site. Avec ses serres ultramodernes et ses vastes aires de production, la Pépinière Villeneuve cultive chaque année plus de 200 000 plantes en pot, regroupant 1 000 variétés de vivaces et d’arbustes ainsi qu’une grande sélection de fleurs annuelles. Au cœur de l'érablière, découvrez de magnifiques jardins aménagés pour vous inspirer. Une collection de plus de 1 000 plantes matures! De par l'emplacement particulier du centre-jardin et notre statut de producteur, nous avons su faire de notre passion un mode de vie et un milieu de vie. Notre équipe qualifiée saura vous guider et vous conseiller.

Pépinière Villeneuve

951 rang de la Presqu’ile
L'Assomption (Qc) J5W 3P4
Tel: (450) 589-7158
Fax: (450) 589-4916
www.pepinierevilleneuve.com

Ouverture 28 mars 2025

La protection contre les mulots

L’hiver et les mulots

Le printemps arrive, la neige est partie et maintenant nous voyons les dommages que les mulots causent parfois à la base de nos arbres et arbustes. Les mulots affamés peuvent gruger l’écorce. (Source: Ressources naturelles Canada)

Ces ravageurs grugent l’écorce à la base de nombreuses plantes. Celles qui sont les plus fragiles: pommiers et autres arbres fruitiers, tilleuls, érables et de nombreux autres arbres, weigela, spirée et bien d’autres variétés d’arbustes.
En effet lorsque nombreux et affamés, les mulots s’attaquent à peu près à n’importe quel arbre ou arbuste. Même les conifères ne sont pas épargnés. Les arbustes ou arbres plus jeunes sont plus à risque, d’où la nécessité de protéger leurs troncs en automne.

Ce qu’il faut savoir sur ces dommages, c’est qu’ils empêchent la sève de monter donc condamnent la plante si cette dernière est grugée complètement autour de son tronc. La sève qui monte en dessous de l’écorce dans la partie verte, le cambium, la seule partie vivante des troncs et des branches ne peut plus monter vers les feuilles, donc la plante est vouée à mourir. Une plante grugée à sa base pourra peut-être produire des feuilles sur ses réserves, mais éventuellement elle mourra.

Et que faire si votre pommier est mangé à la base?

La seule façon (scientifique et assez difficile à réaliser) de remédier au problème est de faire une greffe à la base de l’arbre. La greffe en pont, c’est-à-dire de l’écorce intacte en bas du dégât jusqu’à l’écorce en haut du dégât. La partie verte en dessous de l’écorce du greffon doit toucher à la partie verte sur le tronc. Quelques greffes en pont pourraient être faites autour de l’arbre pour permettre à la plus grande quantité possible de sève de monter.
Il existe quelques plantes que les mulots n’attaquent jamais. Entre autres, le caragana pleureur ou arborescent, n’est jamais mangé par les mulots.
Un dernier petit conseil: gardez les alentours de votre propriété propre. Le gazon pas trop long, les débris de toutes sortes enlevés laisseront les mulots sans abris et les forceront à aller chercher refuge ailleurs.

Le mois de mars, mois du renouveau

Le mois de mars, c’est le mois du renouveau.

Au mois de mars, nos plantes d’intérieur se réveillent et il est temps de les rempoter. C’est aussi, avec le mois d’avril, l’un des deux gros mois pour les semis: annuelles, légumes, vivaces. La plupart des plantes d’intérieur sont originaires des régions tropicales et subtropicales. Connaître leurs besoins particuliers pour mieux y répondre représente donc la clé du succès.

La fréquence

Habituellement, un jeune plant doit être rempoté plus souvent qu’un vieux plant, soit tous les ans ou tous les deux ans, s’il s’agit d’un plant qui croit lentement. Un signe qui ne trompe pas est la présence d’une couche blanche sur les parois du pot causée par l’accumulation de sels minéraux. Ils sont apportés à la plante par l’eau d’arrosage et les engrais.

Les grosses plantes, empotées dans de gros pots, profitent pour leur part d’une masse de terreau importante. On peut donc retarder les rempotages aux deux ans, trois ans ou même plus. On doit toutefois faire un surfaçage annuel, en enlevant le terreau en surface et le remplacer. Inutile de choisir un trop grand pot car la petite masse de racines sera
incapable d’absorber un grand apport d’eau. Elle risque même de pourrir s’il y a un excès d’arrosage. Augmentez le diamètre du pot de 2 cm à la fois pour les plantes dans des pots de 15 cm et moins, et de 4 cm pour les autres.

 Quel pot choisir pour ma plante ?

Est-il préférable d’opter pour un pot de terre cuite ou de plastique? Le pot de terre cuite est utilisé pour sa paroi poreuse favorisant l’aération de la terre. Elle y sèche trois fois plus rapidement que dans un pot de plastique. Les plantes de milieux secs comme les cactus, les plantes grasses, les fougères et les bégonias s’y plaisent bien. Le pot de plastique, lui, offre les avantages d’être plus économique, plus léger et plus facile à nettoyer.

Avant de rempoter notre plante, il est conseillé de faire tremper les pots de terre cuite n’ayant jamais servi dans l’eau de 8 à 12 heures avant de les utiliser. Pour les pots usagés, il est préférable de les laisser tremper quelques minutes dans l’eau chaude avec un peu d’eau de javel et de les nettoyer. Les pots de plastique peuvent être nettoyés simplement avec de l’eau savonneuse.

Voici les étapes à suivre :

  • Commencez par enlever la plante de sont ancien pot. Frappez légèrement le pot pour dégager le terreau des parois, puis tirer délicatement la plante en la tenant par la base. Une fois fait, faire une inspection des racines, si certaines font le tour du pot, sont noircies ou sèches, taillez-les. Puis, avec vos doigts, faites tomber une bonne partie de l’ancien terreau en le passant entre les racines. Assurez-vous surtout d’enlever le terreau en surface: c’est là où les toxines s’accumulent.
  • Anciennement on recommandait l’ajout de 2 cm de graviers ou quelques tessons de pots cassés dans le fond du pot. On s’est aperçu que c’était inutile et parfois même néfaste. Couvrez plutôt le trou de drainage avec une petite section de moustiquaire pour empêcher que le terreau ne sorte du pot quand vous arroserez. Humidifiez le terreau à l’avance pour qu’il se manipule facilement.
  • Mettez votre terreau (*voir terreau recommandé) dans le fond du pot pour que la motte soit au bon niveau, soit placée à 1 ou 2 cm en dessous du rebord. Centrez la motte dans le pot et ajoutez du terreau tout autour, en s’assurant de pousser le terreau à travers les racines. Tassez le mélange, sans pour autant le compacter. Arrosez abondamment. Ne commencer à fertiliser qu’un mois après le rempotage.

Type de terreau à utiliser.

Un terreau de qualité contient une bonne proportion de matière organique et un bon pourcentage de matières inertes comme le sable, la vermiculite ou la perlite, auxquelles on ajoute de la chaux horticole lorsque le taux d’acidité doit être ajusté. La matière organique assure une bonne rétention de l’eau et des éléments nutritifs alors que les matières inertes améliorent le drainage. Certains terreaux contiennent des engrais à dissolution lente qui libèrent leurs principes actifs sur une période de trois ou quatre mois.

Trucs & astuces

Neutralisez le calcaire de l’eau en ajoutant quelques gouttes de vinaigre à l’eau d’arrosage. Autre recommandation : la terre de surface ayant tendance à se tasser et d’étouffer les racines, n’hésitez pas à griffer régulièrement et délicatement la surface de la terre.

Article par Denis Bernard, horticulteur

Destruction d'une souche

Comment détruire une souche

 

Destruction d'une soucheLes arbres représentent un élément décoratif fort important dans une cour, tout en contribuant à la bonne santé de notre environnement.  Cependant, il arrive que nous devions abattre un gros spécimen parce qu’il endommage le système de drainage de notre maison ou qu’il se meurt des suites d’une attaque d’insectes ou de champignons.

Si nous pouvons éliminer assez facilement les branches et le tronc, il est souvent impossible d’arracher manuellement une grosse souche.  Si on ne dispose pas de l’espace nécessaire pour laisser entrer de la machinerie dans notre cour, ou qu’il est impossible d’avoir un point d’ancrage solide pour un treuil, l’arrachage mécanique est exclu.

 

Mettre la souche en valeur

  • Couper le tronc à 2 m (6 pi.) du sol. Y faire pousser, par le suite, une plante grimpante comme une clématite, un chèvrefeuille ou  une vigne
  • Creuser le centre de la souche, y forer des trous sur les côtés pour assurer l’égouttement de la cavité. Remplir le trou avec une bonne terre compostée et y planter des plantes à fleurs érigées être tombantes
  • S’en servir comme piédestal pour une grosse potée fleurie

Faire disparaître la souche

  • Couper l’arbre le plus possible à ras de terre
  • Laminer ensuite le bois et les racines avec une essoucheuse

(cet équipement est disponible dans les centres de location et nécessite un passage de 1 m (3 pieds) de largeur)

  • Comme le travail avec l’essoucheuse demande de la force physique et répand des copeaux un peu partout dans le jardin,on peut choisir de forer des trous de 2 cm (1 po) de diamètre, le plus profondément possible, et d’y insérer des produits, comme du compost, du gros sel (attention aux plantes autour), de l’ail, de l’eau, pour accélérer la décomposition de la souche (deux à trois ans sont nécessaires pour  ce faire, parfois plus)
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